La Main Gauche

La Paix dans le monde

 

Une pièce écrite et mise en scène par Diastème

Avec Frédéric Andrau

avec la participation d’Emma de Caunes
Musique Cali
Images Vanessa Filho
Décor Alban Ho Van
Lumières Stéphane Baquet
Costumes Frédéric Cambier
Assistant Mathieu Morelle

 

 

L’histoire de Simon et Lucie. Une histoire en trois parties : LA NUIT DU THERMOMÈTRE, 107 ANS, et puis LA PAIX DANS LE MONDE. Trois parties évidemment distinctes, indépendantes – il ne faut pas avoir vu les pièces précédentes, lu les livres précédents, pour pouvoir apprécier et comprendre. Surtout pour ce dernier opus.

Cinq ans avaient passé.
Puis dix, puis quinze.
Le juge peut interdire au coupable d’approcher la victime pour une durée d’au plus cinq ans.

Simon n’a pas revu Lucie.
Il vit en Suisse, à quelques kilomètres de la maison de Charlie Chaplin.
Il lit des livres, il fait du feu.
Il ne voit pas le temps passer.

Simon se prépare.
Au jour où Simon et Lucie seront enfin réunis.Il doit être prêt. Tout doit être prêt.
Le monde n’oubliera jamais ce jour.

 

CRÉATION AVIGNON 2019
Du 5 au 27 juillet 2019 à 14h05 (relâches les dimanches)
Artéphile – 7 rue du Bourg-Neuf 84000 Avignon

Diffusion
Emmanuelle Dandrel
06 62 16 98 27
e.dandrel@aliceadsl.fr

Presse
Jean-Philippe Rigaud
06 60 64 94 27
jphirigaud@aol.com

 

Avec le soutien du Département du Val-de-Marne et de la SPEDIDAM

Coproductions
Cie du Refuge
Mes Scènes Arts
La Guérétoise de spectacle / Scène conventionnée de Guéret
Fontenay-en-Scènes / Fontenay-sous-Bois
Théâtre Montansier / Versailles
Ondes Alpha

Mécénat
Longsen

Soutiens
Artéphile
Ligue de l’enseignement / Fédération de Paris
Athénée / Le Petit Théâtre de Rueil
Espace Saint-Exupéry / Franconville
Théâtre La Luna / Avignon

 

INTEGRAL DANS MA PEAU ou le monde selon Josh


Texte : Stéphanie Marchais (site internet)
Mise en scène : Frédéric Andrau
Avec : Sylvia Amato, Sophie Tellier, Geoffrey Dahm
et Benoit Giros
Scénographie : Goury
Costumes : Jérôme Bourdin
Lumières : Jean-Maurice Dutriaux

 

Intégral dans ma peau ou le monde selon Josh porte au plateau le texte poétique et singulier de Stéphanie Marchais pour explorer cette période troublante, parfois crépusculaire, de l’adolescence où l’on touche à la frontière entre les rêves absolus de l’enfance et l’âge adulte.

Josh est un adolescent, en quête identitaire, au point de (peut-être?) poser une bombe dans son lycée. Il fait du plateau son terrain de jeu pour transgresser les interdits et nous raconter son histoire, violente, poétique, burlesque :
Il est question de deux sœurs de cinq et sept ans qui apprennent les baisers, du mariage d’un petit garçon et d’une petite fille dans un pays chaud, de supprimer les cons pour résoudre un « problème de surpopulation », d’une professeur obèse et paumée qui n’aurait pas dû se laisser aller, de parents rigides qu’on rêve de séquestrer et de comment réussir une prise d’otage quand on a sept ans et l’ignorance des armes à feu…

Intégral dans ma peau est édité aux éditions Quartett et chez Teater der Zeit (en allemand). Il a été sélectionné en 2012 par le Bureau des lecteurs de la Comédie Française. La pièce est lauréate de Text’Avril 2013, festival du Théâtre de la Tête Noire, et a reçu l’Aide à la création du CNT en 2013.

Coproduction : Fontenay en scènes / Fontenay-sous-Bois
Avec le soutien d’ARTCENA, de  l’ADAMI et de la SPEDIDAM, de la Mairie de Paris,  Mairie du 12e, Ligue de l’enseignement – Fédération de Paris, Centre Paris Anim’ Maison des Ensembles, et de la Maison des métallos

Presse
« Le texte abrupt à la fois charnel et poétique de Stéphanie Marchais décrit comme rarement au théâtre les bouleversements de l’adolescence, ici jusqu’au chaos (…) Frédéric Andrau dirige avec précision une équipe d’excellents comédiens avec lesquels il crée (avec l’aide des costumes judicieux de Jérôme Bourdin) un vrai univers fantasmagorique où le spectateur est directement conduit. Celui de Josh, dressé contre le monde. (…)
Une vraie réussite et un puissant moment de théâtre à l’écho retentissant. »
Nicolas Arnstam
Froggy’s Delight, juillet 2017

« Avec Intégral dans ma peau ou Le monde selon Josh le metteur en scène Frédéric Andrau propulse le public au cœur des nerfs à vif d’un adolescent, tel un uppercut brut et éminemment poétique. Un hangar, quatre poteaux et un rouleau de scotch, voici le terrain de jeu de Josh. (…) On entre dans la peau de Josh de manière radicale, on observe ses mues et ses paradoxes, sa violence et le souvenir des rêves de l’enfance pas encore étouffée. Sur le plateau quatre interprètes d’excellence pour cette création : Geoffrey Dahm, Sylvia Amato, Benoit Giros et Sophie Tellier. Une pièce insoumise, contemporaine traitée avec lucidité. »
Julie Langwillar
Vaucluse Matin, juillet 2017

« Josh nous amène dans son monde d’adolescent, racontant son histoire violente et touchante, brisant les règles et se détachant du monde réel. Un spectacle se partageant entre enfance et adolescence, entre danger et témérité, et entre beauté et horreur. Tenu en haleine, le public se plonge entièrement dans ce nouveau monde et découvre cette nouvelle vision de l’adolescence. Vous serez touchés par cette violence enfantine, ces personnages et cette histoire. »
Clémentine Schmitt
La Provence, juillet 2017

« (…) Une histoire de mue, de quête d’absolu, de peur de se perdre, de rébellion et d’enfance : telle est celle de Josh, qui prend en otage le théâtre pour se raconter. « Pour se singulariser, par amour, ou parce qu’il n’a rien d’autre à proposer à la société qu’il fustige », Josh, à la frontière entre les rêves de l’enfance et l’âge adulte, « s’invente la mission d’éradiquer tous les cons pour résoudre un problème de surpopulation ». Sylvia Amato, Sophie Tellier, Geoffrey Dahm et Benoit Giros interprètent « cette pièce à la beauté étrange,  fable à l’humour décalé ». (…) »
Catherine Robert
La Terrasse, juin 2017

Calendrier de tournée
Création du 21 au 26 février 2017 à l’Espace Gérard Philipe de Fontenay en scènes, Fontenay-sous-Bois
4 avril 2017 à 20h30 au Théâtre de la Tête Noire, Scène conventionnée pour les écritures contemporaines
23 et 24 juin 2017 à 21h à la Maison des Ensembles, Paris 12
du 7 au 30 juillet 2017, relâches les 12, 19 et 26, à 17h45 au Ninon Théâtre, Avignon

 

 

 

Alors Carcasse

CarcasseTexte : Mariette Navarro
Mise en scène et adaptation : Frédéric Andrau
Comédienne : Stéphanie Daniel
Bande son et création lumière : Jean-Maurice Dutriaux

Carcasse, curieux personnage, à la fois drôle et tragique, au nom improbable et sans fonction, mais qui vit intensément, riche paradoxalement de désirs, d’attentes, de craintes, de refus. Aux prises avec le monde, avec les autres, avec l’époque, Carcasse se tient tout au bord d’un seuil qu’elle ne sait ni pourquoi ni comment franchir. Elle voudrait être contre, mais doit faire avec. Une bien embarrassante contradiction, qui engage une véritable épopée organique.

Soutiens : SACD, Musiques au Comptoir, la ville de Fontenay-sous-Bois et Fontenay-en-scènes.
Spectacle crée au Théâtre du Rond-Point dans le cadre des Pistes d’Envol

 

Quelques conseils utiles aux élèves huissiers

huissiersAfficheBdTexte de Lydie Salvayre
Mise en scène : Jeanne Mathis
Création son & lumières : Ivan Mathis
Avec Frédéric Andrau

LA MAIN GAUCHE avec KAÏROS THEATRE

Création les 23-24-25 avril 2011 au Théâtre Le Comédia – Toulon
Novembre 2011 à l’Espace Gérard Philipe – Fontenay-sous-Bois (94)
3 février 2012 au Théâtre Denis – Hyères (83)

DU 7 AU 29 JUILLET 2012 – THÉÂTRE ARTO – FESTIVAL AVIGNON OFF

 

Presse

France Inter, par Stéphanie Fromentin
« Une mise en scène sobre et efficace. Un personnage haut en couleurs.»

France culture, par Joëlle Gayot
«Il y a de l’humour, du sens. C’est efficace, bien joué, très actuel.»

Télérama.fr, par Martine Laval
«Lydie Salvayre fait de l’irrévérence une manière de vivre, d’écrire. Elle crache sur notre bonne vieille morale à coups de mots trafiqués.»

Kouran d’art, par Angélique Lagarde
«Le texte de Lydie Salvayre délicieusement acerbe nous propose de nous mettre dans la peau d’un parfait huissier en devenir! Sur les bancs de la classe nous assistons au cours magistral d’un Frédéric Andrau, comédien que nous savions talentieux et que nous découvrons, grâce à la mise en scène de sa complice Jeanne Mathis, atrocement drôle!»

attachée de presse : Nathalie Gasser

 

La Petite Robe de Paul

PetiteRobeDePaul-charenton.inddDe Philippe Grimbert
Adaptation de Philippe Grimbert avec la collaboration de Frédéric Andrau
Mise en scène : Frédéric Andrau
Distribution : Fabrice Moussy, Valérie Gabriel, Andréa Brusque, Anna Strelva et Léa Wiazemsky
Assistante : Sylvie Amato
Scénographie : Goury
Lumières : Ivan Mathis
Costumes : Frédéric Cambier

Co-production La Main Gauche / Les Théâtres – Charenton le Pont – Saint Maurice / La Maison des métallos / ATC Théâtre de Saint-Maur.
Aide à la création du Conseil Général du Val-de-Marne. Avec le soutien de la ville de Fontenay-sous-Bois.
Parrainage Château de Christin (www.chateaudechristin.fr)

Presse

Dumas, théâtres, Coups de coeur et commentaires
«Frédéric Andrau met en scène l’intime avec logique. Il a construit l’espace scénique du couple en plan incliné dont la surface grise est élastique (scénographie : Goury). Le fond de scène est noir et fonctionne comme un promenoir, un « ailleurs » qui contrôle l’espace central. Les lumières d’Ivan Mathis cernent les personnages. Les comédiens évoluent avec souplesse entre passé et présent, fantasme et réalité. Ils ne trichent pas, le décor se plie à leurs confidences, ou à leurs cachotteries.
C’est un très beau travail. »

Fip, par Stéphanie Daniel
«Une rencontre à paris, belle et double; celle d’une œuvre et d’un lecteur éclairé. Puis celle d’un auteur, et d’un metteur en scène de talent. Fréderic Andrau met en scène l’adaptation de  « La Petite Robe de Paul» de Philippe Grimbert, nous plongeant dans le marais des maux, des illusions et des secrets de famille. On y navigue au plus profond de l’intime et aux confins de l’inconscient, oscillant toujours entre fantasme et réalité; un spectacle troublant, remarquable et élégant, qui chatouille notre imagination et gratouille notre mémoire avec exigence, et on en redemande.»

Kouran d’art, par Marie- Laure Atinault
« Il n’est pas toujours aisé de faire passer le roman à la scène. Certain roman reste réfractaire au changement. Le passage de la page à la scène peut être préjudiciable. Ici il y a deux rencontres : celle d’une œuvre et d’un lecteur éclairé, Fréderic Andrau, puis celle d’un auteur, Philippe Grimbert et d’un metteur en scène. Ensemble ils ont fait une adaptation qui permet le passage entre la lecture et la représentation.
Lorsque le spectateur entre dans la salle, il voit sur scène un couple allongé comme en apesanteur. Ils reposent sur une matière qui a l’aspect du brouillard ou de ces limbes qui meublent nos songes. Les personnages en marchant font apparaître des formes, des meubles, l’escalier prend ses contours que parce qu’on l’emprunte. Il en va de même dans certain film d’animation fait avec des murs d’épingle qui ne prennent forme qu’au contact d’une manipulation. Le procédé scénique choisit par le talentueux Fréderic Andrau permet cette distance entre les actes et les pensées des personnages. Ainsi Paul s’adresse au public lors d’un repas de famille qui éveille chez le public un bon morceau de vécu, Paul nous parle et la famille se fige. Il nous livre ses confidences en un moment de fugace éternité. Tout se joue entre le public, interlocuteur privilégié et Paul. Sommes-nous dans le rêve, dans l’imagination, dans la mémoire, dans le présent, le passé ou le futur ? Abolition du temps et de l’espace pour être dans l’univers intime de Paul.
Une belle (et astucieuse) scénographie n’est rien sans des comédiens qui la peuplent et ici la direction d’acteurs de Fréderic Andrau est sans faille. Tous les comédiens semblent si parfaitement être leur personnage que l’on ne peut imaginer quelqu’un d’autre. Ce remarquable spectacle n’est que pour quelques jours à l’affiche, il faut vous précipiter toutes affaires cessantes voir cette œuvre d’une rare beauté qui donne à voir et à réfléchir sur l’âme humaine et si l’on est lucide, sur nous.»

Pariscope, par Dimitri Denorme
« La mise en scène redoutablement efficace de Frédéric Andrau nous conduit aux confins de l’inconscient»

attaché de presse : Jean-Philippe Rigaud

Les Justes

lesjustesDe Albert Camus
Mise en scène : Diastème
Comédiens : Frédéric Andrau, Jeanne Rosa, Linh-Dan Pham, Renaud Le Bas, Jean-Edouard Bodziak, Julien Honoré, Bertrand Combe, Damien Bricoteaux et Mathieu Morelle.
Lumières : Stéphane Baquet
Décor : Cécille & Georges
Costumes : Frédéric Cambier
Sons : Thomas Lefèvre

 

“En février 1905, un groupe de terroristes, appartenant au parti socialiste révolutionnaire, organise un attentat à la bombe contre le grand-duc Serge…” Thriller implacable, Les Justes parle de terrorisme, de justice, d’idéal et surtout d’amour. Cette pièce exalte ce qu’il y a de plus beau et complexe chez un être humain, son désir de rendre le monde meilleur et d’aimer son prochain, par-delà les souffrances, la folie et le sacrifice.

 

Co-réalisation Théâtre du Chêne Noir. Une co-production Fontenay-en-Scènes / Fontenay-sous-Bois.
Parrainé par le Chateau de Christin (www.chateaudechristin.fr).
Avec le soutien de l’ADAMI, et du FIJAD (DRAC et Région Provence-Alpes-Côte d’Azur).
Avec la participation du Théâtre de la Méditerranée et du Théâtre Le Nickel / Rambouillet.
Diffusé et soutenu par Atelier Théâtre Actuel.

Presse

La Croix, Portrait de Diastème par Bruno Rouvet
«Cet amoureux du travail de troupe dirige avec une grande sensibilité ses comédiens, s’attachant plus au tiraillements intimes du groupe de révolutionnaires qu’a la dimension politique du texte.
Le spectacle permet de retrouver Frédéric Andrau -son excellent acteur fétiche -, Jeanne Rosa et Linh-Dan Pham.»

Le Figaro, par Nathalie Simon
«Le Théâtre du Chêne Noir fait salle comble avec Les Justes de Camus, revisité avec une sensibilité à fleur de peau par Diastème.»

Politis, par Gilles Costaz
« La pièce, où un révolutionnire commet un attentat et se trouve ensuite confronté aux manipulations du pouvoir, se déroule sans faux-fuyants, dans un climat limpide et grave. Avec un très bel acteur, Frédéric Andrau, dans le rôle principal, et d’excellents partenaires comme Jeanne Rosa, Renaud Le Bas, Julien Honoté et Mathieu Morelle.»

Télérama, par Fabienne Pascaud
« Jeanne Rosa et Frédéric Andrau composent un couple d’amoureaux militants joliment romantiques dans Les Justes.»

La Tribune.fr, par Jean-Pierre Bricoure
« Allez voir Les Justes d’Albert Camus dans une mise en scène de Diastème.»

Première avec pariscope, par Pierre François
« Les Justes dans la salle confortable et comble du théâtre du Chêne noir, est une pièce qui se laisse entendre autant que voir, avec un réel plaisir. (…) Le texte, excepttionnel de concision philosophique et de justesse verbale, est très bien servi par des comédiens  qui ont su rendre chacun de leur personnages à la fois différents et semblables aux autres. Entre l’illuminé Stéphan, le solitaire Boria, le raisonnable Alexis et l’assuré Yanek, on sent à la fois l’unité profonde et les divergences dues aux personnalités.»

attaché de presse : Jean-Philippe Rigaud

107 ans

affiche107ansDe Diastème
Adaptation : Diastème et Frédéric Andrau
Mise en scène : Diastème
Assistant : Damien Bricoteaux
Comédien : Frédéric Andrau
Lumières : Stéphane Baquet

« J’ai voulu raconter une histoire dans laquelle le temps, contrairement à l’adage, ne guérissait pas les blessures, une histoire d’amour absolue, à la fois drôle et terrifiante, qui puisse faire rire, faire peur et faire mal, comme la vie fait rire, fait peur et fait mal. J’ai voulu voir jusqu’où on pouvait aller par amour, quand on était prêt à lui dédier sa vie, quand on était prêt à aller jusqu’au bout. 107 ans, c’est l’histoire d’un garçon fou d’amour pour une fille. L’histoire de Simon et Lucie. » Diastème

Co-production Pépinière Opéra – La Main Gauche – Enfithéa
En partenariat avec la FNAC, Métro, Zurban, Nova, Fip Avec le soutien de Fontenay en scène, Les 4 saisons du Revets et le Théâtre de Grasse

La Tour de Pise

affichetourdepiseDe Diastème
Mise en scène : Diastème
Assistant : Damien Bricoteaux
Comédienne : Jeanne Rosa
Lumières : Stéphane Baquet

C’est toujours drôle quelqu’un qui tombe, ça fait toujours rire. Pourtant ce n’est pas très drôle ; la personne se fait mal mais nous, nous rigolons, nous rigolons vite, de peur d’avoir à en pleurer. LA TOUR DE PISE, c’est l’histoire d’une femme qui a peur de tomber, parce qu’elle a le sens du ridicule, ou de la douleur. C’est une comédie sur la douleur, voilà, une fantaisie sur la peur, un drame du ridicule.

Un visible Théo

afficheunvisibleDe Renaud Le Bas
Mise en scène : Frédéric Andrau
Assistant : Damien Bricoteaux
Comédiens : Renaud Le Bas et Valérie Gabriel
Lumières : Yvan Mathis

C’est la première journée d’école de Théo. Ses parents sont un peu angoissés, voire totalement fébriles face à cet événement. Théo est un enfant handicapé de 7 ans et, depuis 7 ans, ses parents ne se sont plus jamais retrouvés seuls. Ils n’ont qu’une journée de classe pour rattraper leur retard, pour apaiser leur colère et faire le deuil de l’enfant normal. C’est ce va et vient que nous suivons, entre identification et distance avec ce couple. Parfois en toute complicité, parfois en témoin, mais toujours dans l’humour du quotidien, de la simplicité de la vie.

Co-production La Main Gauche, Les 4 Saisons du Revest et Fontenay en scènes / Fontenay-sous-Bois.
En partenariat avec l’APEI les papillons blancs, l’URAPEI du Val de marne, l’association « Loisir Pluriel » et les éditions Autrement.

Presse

Politis, par Gilles Costaz
«Frédéric Andrau avait été le bouleversant interprète de 107 ans, la pièce de Diastème sur un adolescent malade d’amour jusqu’à la folie. On le retrouve comme metteur en scène d’Un visible Théo de Renaud Le Bas, qui traite d’un autre drame humain mais partage avec l’œuvre précédente une même volonté de regarder les autres au-delà des préjugés. (…) Sa mise en scène dessine les hauts et les bas, les variations claires ou obscures du couple, n’hésite pas à faire rire des petitesses fugaces des personnages. Le spectacle, avec sa modestie ambitieuse, entrouve une fenêtre en nous-mêmes.»

Le Monde, par Sandrine Blanchart
«Il aura fallu presque six ans pour que Renaud Le Bas trouve la force et l’énergie d’écrire sur le handicap. Il livre sans misérabilisme ni angélisme le retentissement de l’arrivée d’un enfant handicapé sur la vie du couple.»

Pariscope, ‘‘le coup de cœur’’, par Marie-Céline Nivière
«Dans une très belle mise en scène de Frédéric Andrau, Valérie Gabriel et Renaud Le Bas nous ont ému par leur interprétation sensible et délicate. Quant à Théo, il est bien là, quelque part dans le regard de ses parents, juste à côté de nous, les spectateurs. Merci…»

20 minutes par Charlotte Lipinska
«Finement dirigés, les comédiens se déchirent avec talent tout en s’adressant à celui qui électrise leur exaspération, un Théo absente de la scène, mais centre d’attention permanente.»

A Nous Paris, par Myriem Hajoui
«Loin de toute pesanteur démonstrative, la mise en scène millimétrée de Frédéric Andrau s’attache à d’infimes détails suggérant un couloir ou l’embrasure d’une porte. Le spectateur a ainsi l’impression que l’histoire est en train de vivre sous ses yeux et d’être à la place de Théo, invisible mais quelque part au milieu du public. Pour réussir cela, il fallait un joli sens de la mesure et des comédiens en parfaite harmonie. Vacillants d’hystérie fatiguée, Renaud Le Bas et Valérie Gabriel portent le récit à bout de souffle.»

attaché de presse : Jean-Philippe Rigaud

Inconnu à cette adresse

inconnu-afficheDe Kressmann Taylor
Traduction : Michèle Lévy-Bram
Mise en scène : Maurice Bénichou et Jean-Christophe Barbaud
Comédiens : Frédéric Andrau et Renaud Le Bas
Créateurs lumières : Yvan Mathis et Jean louis Floro

1932 : Martin Schulze, un Allemand et Max Eisenstein, un juif américain, sont marchands de tableaux en Californie. Ils sont unis par des liens plus qu’affectueux – fraternels. Le premier décide de rentrer en Allemagne. C’est leur correspondance fictive, entre 1932 et 1934, qui constitue ce petit livre, inédit en France, écrit par une américaine en 1938 et salué à l’époque, aux Etats-Unis, comme un chef d’œuvre. Incisif, court et au dénouement saisissant, ce livre capte l’Histoire avec justesse. C’est un instantané, une photographie prise sur le vif qui décrit sans complaisance, ni didactisme forcené, une tragédie intime et collective, celle de l’Allemagne nazie.

Co-production Planète Emergences, le Théâtre de Lenche à Marseille et la Main Gauche
En partenariat avec L’Histoire, FIP, Nova, Autrement, In Fact.
Avec le soutien de la Mairie de Paris

Presse

Le Figaro, par Armelle Heliot
« Le spectacle retrouve la subtilité du texte de Kressmann-Taylor traduit avec précision par Michèle Lévy-Bram et les interprètes, très proches, laissent sourdre jusqu’aux plus troublantes proximités la gémellité contrariée de ces deux hommes dans la tourmente épouvantable de l’Histoire. Un moment très intéressant, sobre et rigoureux, mais touchant toujours.»

Le Parisien, par Sophie Rabiller
«La Maison des métallos présente une bouleversante adaptation d’Inconnu à cette adresse de Kressmann-Taylor. Un texte superbe, une histoire émouvante, très bien mis en valeur par le jeu des comédiens – Frédéric Andrau et Renaud Le Bas – qui ne peut laisser pernone indifférent.»

Tatouvu.mag, par Philippe Escalier
«Amour du théâtre et travail en équipe, insatiable curiosité des autres, Frédéric Andrau est aussi passionnant à connaître qu’épuisant à suivre! Les idées et les projets, pas plus que l’énergie, ne manquent à cet acteur charismatique qui vient d’être distingué comme révélation aux Molière pour La Nuit du thermomètre.»

attachés de presse : Pascal Zelcer et Jean-Philippe Rigaud